Cello op 34
Pour violoncelle solo
Marie-Christine Raboud-Theurillat
Partant d’un minimalisme modal, lancinant, répétitif, mélancolique, le jeu se developpe peu à peu, s’animant et s’eclairant pour terminer en une farandole affreinée (4ème mouv ). Le 3ème mouv. plus intime reste le plus expressif.